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Replay Zone Interdite du 11 juin 2023, où revoir l'émission ?

Où pourra-t-on revoir l'émission Zone Interdite du dimanche 11 juin 2023 présentée par Ophélie Meunier sur la chaîne de M6 ?

Le dimanche soir, M6 diffuse régulièrement une nouvelle émission inédite de Zone Interdite. Chaque émission, le sujet change afin de proposer des reportages toujours différents aux téléspectateurs et téléspectatrices.

Souvent, l'émission Zone Interdite montre les coulisses que ne peuvent voir les téléspectateurs, et leur propose des astuces dans le but de faciliter leur quotidien. L'émission du 11 juin 2023 contient notamment un reportage en immersion au sein du parc Astérix.

Où revoir l'émission Zone Interdite du 11 juin 2023 ?

SI vous voulez revoir les émissions Zone Interdite, n'hésitez pas à suivre le lien ci-dessous pour retrouver d'anciennes émissions, mais aussi des bonus exclusifs !

>>> Replay Zone Interdite <<<

L'intitulé de l'émission du dimanche 11 juin 2023 est « Plus rare, plus polluée : notre eau potable est-elle menacée ? ». Si vous souhaitez voir le teaser de l'émission, la production de Zone Interdite l'a posté sur les réseaux sociaux.

Pour information, le pitch de l'émission du jour de Zone Interdite sur M6 : « L’ampleur de la crise est inédite. Après une vague de sècheresse historique l’été dernier et un hiver qui n’a pas rechargé les nappes phréatiques, tous les voyants sont au rouge pour l’été 2023. C’est désormais une réalité inéluctable : l’eau se fait de plus en plus rare. Cette ressource que l’on pensait inépuisable, il faut désormais apprendre à l’économiser. Aucun territoire n’est épargné par la pénurie, même les plus humides. Depuis l’été dernier, plus de sept cents communes ont perdu un temps leur accès à l’eau potable. Mais au-delà des problématiques de restriction, un autre phénomène menace désormais notre santé : la pollution. Plus rare, notre eau est aussi de moins bonne qualité. Zone interdite a mené l’enquête et nos révélations sont alarmantes. Nous avons découvert des gaspillages énormes et incompréhensibles mais aussi, côté sanitaire, des autorités de contrôle qui n’ont pas les moyens nécessaires pour exercer leurs missions. L’eau que nous buvons présente-t-elle un risque pour notre santé ? Dans les Ardennes, le réseau de distribution d’eau potable est un vrai gruyère. Nous avons filmé des images stupéfiantes : des geysers qui jaillissent des tuyaux percés et rouillés ! 30 % de l’eau est dilapidée ; un chiffre énorme, pourtant proche de la moyenne nationale. Peut-on tolérer aujourd’hui un tel gâchis ? Bien conscient du problème, le maire de Charleville-Mézières a engagé un grand plan de rénovation du réseau. Mais le coût des travaux est pharaonique : rien que pour installer trois kilomètres de tuyaux neufs, il va débourser deux millions d’euros ! Seule solution pour équilibrer ses comptes : augmenter le prix de l’eau. Comment vont réagir ses administrés ? Prix qui flambent et pénurie qui menace : voici les nouvelles angoisses des maires. Depuis l’été dernier, parmi les communes privées d’eau : Berrien, dans le Finistère. Surnommée « le château d’eau de la Bretagne », cette région n’aurait jamais dû manquer d’eau ! Pourtant, d’août à décembre dernier, la famille de Pierre et Elena Roy, comme tous les autres habitants, a été obligée de cuisiner et de se brosser les dents avec de l’eau en bouteille. Leur nappe phréatique était à sec. Alors le maire de la commune, en désespoir de cause, a décidé de relier le réseau municipal à une réserve formée dans une carrière de craie. Mais dix jours plus tard, c’est la catastrophe : des analyses révèlent que l’eau était polluée à l’arsenic. Depuis, les habitants vivent dans l’angoisse permanente et demandent des réponses : pourquoi l’Agence Régionale de Santé n’a-t-elle pas réagi à temps ? La qualité de notre eau est-elle bien contrôlée ? C’est une des révélations de notre enquête : la pénurie dégrade la qualité de notre eau potable. Moins il y a d’eau dans les nappes phréatiques, plus les polluants y sont concentrés. Problème : non seulement les contrôles sont très peu fréquents, mais en plus ils sont incomplets. Pour les communes de moins de cinq cents habitants, c’est-à-dire une commune sur deux en France, un seul prélèvement est obligatoire par an, contre un par mois minimum dans les grandes métropoles. Mais sont-ils au moins exhaustifs ? Les investigations menées par Didier Malé sont alarmantes. Ce citoyen, lanceur d’alerte basé dans l’Oise, a fait de la qualité de l’eau son cheval de bataille. Il dénonce un scandale : en fonction de la région où l’on vit, les autorités sanitaires n’ont pas les moyens de détecter tous les résidus de pesticides, simplement parce qu’elles n’ont pas les équipements nécessaires ! ».