Malgré un taux d'incidence qui est en hausse, la crise sanitaire liée au coronavirus semble rester stable dans les hôpitaux. Dans les zones les plus touchées, notamment en Île-de-France, le nombre de cas quotidien semble même commencer à diminuer.
Chaque semaine, le gouvernement se réunit lors du conseil des ministres pour parler des réformes en cours. Le conseil de défense sanitaire est aussi une échéance importante, puisqu'il permet au gouvernement de prendre des décisions importantes sur la crise sanitaire.
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Qu'a annoncé le porte-parole du gouvernement le 2 février 2022 ?
Cet article sera mis à jour au fur et à mesure de la conférence de presse du porte-parole du gouvernement.
Voici les principaux éléments à retenir cette allocution :
- Le port du masque sera maintenu à l'intérieur mais levé à l'extérieur.
- Le pass culture va être étendu aux jeunes de 15 à 18 ans, contre seulement 18 ans.
- Dans les établissements scolaires, un nouveau protocole sanitaire sera dévoilé à l'issue des vacances de février.
- Le variant Omicron continue de faire peser une forte pression sur les hôpitaux, avec de nombreux cas mais une mortalité qui reste sous contrôle.
- Les boîtes de nuit vont bien rouvrir à la date prévue
Il est peu vraisemblable que cette conférence de presse soit le lieu d'annonces majeures relatives à la crise sanitaire. Depuis déjà plusieurs semaines, les protocoles sanitaires tendant à être assouplis, en particulier dans les établissements scolaires où le taux d'incidence a atteint des niveaux records récemment.
Il s'agit pour Gabriel Attal de répondre aux interrogations des journalistes sur différentrs sujets liés à la politique courante ou à la crisa sanitaire.
Avec l'échéance de l'élection présidentuelle, le gouvernement doit aussi continuer d'apporter des réponses sur le plan politique et économique. Si le Président de la République a d'ores et déjà dit qu'il ne souhaitait pas prendre part à des débats réunissant l'ensemble des candidats à l'élection. S'il était réélu, Emmanuel Macron poursuivrait vraisemblablement les réformes libérales entamées lors de son premier quinquennat, visant notamment à flexibiliser le marché du travail. Des réformes mises de côté pourraient alors ressurgir, comme la réforme prévue des retraites.
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