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Yasin Cengiz mort : non, le Tiktokeur turc n'est pas décédé

C'est une rumeur qui s'est beaucoup propagée sur les réseaux sociaux après les séismes en Turquie : le tiktokeur Yasin Cengiz n'est pas mort.

Si vous arpentez régulièrement les réseaux sociaux, vous avez peut-être déjà vu passer Yasin Cengiz, ce personnage à l'allure débonnaire, dansant du ventre. Un gimmick répété et décliné à l'envie dans de nombreuses vidéos, publiées sur Tiktok, Instagram et Youtube.

Avec le dramatique tremblement de terre ayant eu lieu en Turquie le 6 février 2023, des milliers de personnes sont portées disparues. Originaire de l'Anatolie, une région septentrionale de la Turque, Yasin Cengiz a pendant quelques temps arrêté de publier du contenu, provoquant l'inquiétude sur les réseaux sociaux. Il a pourtant publié une story sur Instagram le 7 février 2023, ce qui prouve qu'il n'est pas en danger. Il fournit aux internautes de multiples moyens afin d'aider la population de la Turquie, en particulier des associations humanitaires.

Yasin Cengiz est-il décédé dans les tremblements de terre en Turquie ?

Non, le tiktokeur et influenceur turc, célèbre pour ses danses du ventre, n'a pas été tué dans les tremblements de terre. Dans une story postée le 7 février 2023 sur Instagram, il indique (en turc) à ses abonnés comment donner à des ONG et des associations afin d'aider la population turque, en grand besoin, mais aussi celle de la Syrie.

>>> Compte Instagram de Yasin Cergiz <<<

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Peu à peu, les opérations de secours se mettent en place en Turquie. Sans relâche, les secouristes turcs interviennent et sortent des victimes des décombres. Venus du monde entier et notamment de France, des contingents sont appelés à la rescousse et commencent à se déplacer sur le terrain. Toutefois, la situation reste chaotique, et des observateurs internationaux rapportent des événements graves : les réseaux TikTok et Twitter ont été coupés dans le pays, ce qui nuit gravement aux tentatives de coordination des opérations de secours. Dans certaines régions, l'aide fournie par l'État semble cibler en priorité les zones favorables au pouvoir, tout en reléguant au second plan les zones où habitent des minorités, comme les kurdes. La coupure des réseaux, survenue après la catastrophe, et non à cause d'elle, pourrait avoir pour but d'empêcher ces informations de circuler. De même, les aides n'émanant pas du gouvernement turc seraient ralenties, voire déroutées dans certaines zones : toutes ces informations restent à confirmer pour l'instant, mais pourraient être le symptôme d'une gestion de la crise à deux vitesses particulièrement grave de la part du gouvernement de Recep Tayyip Erdogan.