La guerre en Ukraine lancée par le gouvernement russe continue d'avoir des répercussions mondiales : marques qui arrêtent leur distribution en Russie, sportifs privés de compétition ou alors sous bannière neutre, bref, une sorte de division se crée. Et les oligarques russes ne font pas exception à la règle, même dans le milieu du sport ou les marques se séparent de certains clubs à cause de certains liens.
Le sponsoring est un procédé extrêmement important et surtout dans le monde du sport. Certains clubs signent des partenariats très lucratifs qui permettent à ces derniers de prendre de nouvelles dimensions à l'échelle nationale mais aussi européenne. C'était notamment le cas de Chelsea avec son sponsor maillot Three. Mais en raison des liens de Roman Abramovitch avec Vladimir Poutine, le sponsor a décidé de se mettre en retrait mais pas entièrement... Explications.
-
À lire aussi
Quel avenir pour le partenariat entre Chelsea et son sponsor Three ?
Le début de la guerre en Ukraine il y a environ deux mois a chamboulé énormément de choses au niveau mondial : soutien ou non, retrait ou arrêt des activités, autant de situations délicates qu'énormément de marques ont dû gérer.
Chelsea a dû faire face à cette même situation : le club dirigé par Roman Abramovitch, proche de Vladimir Poutine, a vu son sponsor principal, Three, demander à se retirer si la situation persistait.
En effet, avec cette guerre, le gouvernement britannique a décidé de geler les actifs du président de Chelsea : cela veut dire que tous les comptes bancaires du club sont bloqués et que personne n'y a accès. Pour que la situation s'arrange, Roman Abramovitch doit vendre au plus vite. Mais ce n'est peut-être pas son intention non plus.
Mais avec un partenariat à hauteur de 47 millions d'euros, Chelsea pourrait perdre une énorme somme d'argent si la situation ne s'arrange ou ne change pas. Il faut par contre comprendre que le partenariat n'est pas encore rompu et que la marque continue d'apparaître sur le maillot des Blues. L'oligarque russe attend une offre minimum de 3,6 milliards d'euros pour revendre le club. Si la situation ne change pas d'ici le début de la saison prochaine, il se pourrait que Chelsea perde son sponsor...
-
À lire aussi