Malgré la déclaration de guerre russe en Ukraine, presque aucune des quelque 1 200 entreprises françaises présentes en Russie ne semble vouloir arrêter ses activités dans la région. Certaines entreprises ont annoncé avoir ralenti leur activité. Aujourd'hui, 41 % des Français se disent prêts à boycotter les entreprises, marques et enseignes présentes en Russie qui continuent de faire profit durant cette guerre.
Pour autant, malgré cet appel au boycott des entreprises françaises présentes ou marques toujours présentes en Russie. Selon un article de ladepeche.fr, c'est près de 500 entreprises françaises qui sont présentes en Russie, et qui emploient 160 000 salariés, selon le ministère de l'Économie, la France est le premier employeur étranger en Russie. Retrouvez les noms de certaines des entreprises françaises exerçant une activité en Russie dans la suite de cet article.
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Combien d'entreprises françaises sont présentes en Russie ?
Si certaines entreprises françaises sont directement implantées en Russie via une filiale française, d'autres sont présentes plus discrètement puisqu'elles possèdent une entreprise de nationalité russe portant un autre nom. Parmi les entreprises présentent en Russie, vous trouverez celles énumérées ci-dessous dans cette liste non exhaustive :
- Renault
- Auchan
- Decathlon
- Leroy-Merlin
- Danone
- Lactalis
- Bonduelle
- Pernod-Ricard
- TotalEnergies
- Le groupe hôtelier Accor
- Sanofi
- EDF et Engie
- Stellantis (ex-Peugeot - Citroën)
- Société Générale
- Safran
- Alstom
- Air Liquide
- Saint-Gobain...
Pour votre information, la France est également présente en Ukraine avec 160 entreprises. À ce titre, près d'un millier de Français étaient recensés en Ukraine avant les tragiques événements que nous connaissons.
Récemment, devant le Parlement français, Volodymyr Zelensky s'est exprimé le mercredi 23 mars 2022 en visioconférence, et appelle les entreprises françaises présentes en russie à « quitter » le pays. Suite à cette prise de parole, Renault a annoncé suspendre ses activités en Russie et va réfléchir sur le cas de la filiale AvtoVAZ.
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