Devant la crise sanitaire, la plupart des pays occidentaux ont mis en place une campagne vaccinale visant à enrayer l'épidémie de covid. Si le vaccin ne permet pas totalement d'éradiquer le covid, il limite le le risque de propagation et limite très considérablement le risque de développer des formes graves.
Mais tous les pays n'ont pas les mêmes moyens, et pour beaucoup mettre en place une campagne de vaccination massive est tout simplement trop coûteux. C'est pourquoi des pays ont décidé de mettre en place covax, un mécanisme de solidarité visant à ce que des pays développés offrent des doses de vaccins à des pays en développement.
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Qu'a dit le Président de l'OMS vis-à-vis de la campagne de rappel ?
Pour Tedros Adhanom Ghebreyesus, le président de l'OMS, l'important actuellement n'est pas tant d'administrer une dose de rappel aux personnes qui sont déjà vaccinées que de favoriser la vaccination des pays en développement.
A year after #COVID19 vaccines started being administered, 3 in 4 African health workers remain unvaccinated & only half of @WHO Member States have reached the target to immunize 40% of their populations by the end of 2021.
— Tedros Adhanom Ghebreyesus (@DrTedros) December 22, 2021
To end the pandemic, we must commit to #VaccinEquity. pic.twitter.com/GPPwtljvp0
Dans les pays en développement, le taux de vaccination est très faible. Avec cette faible couverture vaccinale, les pays en développement sont plus vulnérables. Si la circulation du virus n'y est pas aussi forte que dans les pays, les pays en développement peuvent être et sont déjà à l'origine de variants, qui mettraient en danger tous les pays, y compris ceux dont la couverture vaccinale est élevée (source).
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