Lors d'un déplacement dans un camp de réfugiés ukrainiens dans le Maine-et-Loire dans la journée du mardi 15 mars 2022, Emmanuel Macron Président de la République, a été interpellé par une femme, aide-soignante, car elle ne pouvais plus exercer sa profession en raison de l'obligation vaccinale contre le covid-19. En larme, elle déplore ne plus pouvoir travailler car elle n'a pas reçu ses trois doses de vaccin contre le covid et souhaite que le Président de la République et le gouvernement assouplissent le protocole sanitaire dans les hôpitaux.
« Monsieur le président, pourquoi obliger les soignants à se faire vacciner ? S'il vous plaît, laissez-nous travailler ! », voici les mots de cette aide-soignante lors du déplacement d'Emmanuel Macron. Emmanuel Macron a affirmé la position du Gouvernement et de l'Exécutif qui est la suivante : « Le gouvernement ne va pas supprimer l'obligation vaccinale, je vous le dis en toute sincérité ».
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Emmanuel Macron recadre une aide-soignante
La discussion entre le Président de la République et l'aide-soignante ne s'est pas conclue sur le simple rappel de la position du gouvernement sur le protocole vaccinal dans les hôpitaux et les services de santé. Emmanuel Macron a recadré son interlocutrice de la sorte : « Si vous voulez parler avec moi, d'abord le mieux c'est de ne pas me filmer », il continue ensuite « Par courtoisie, parce que moi, je viens vous voir gentiment ».
L'aide soignante s'est aussitôt excusée auprès du Président de la République, tout en baissant son téléphone. Mais le dialogue s'est poursuivi sur la situation des aides-soignants dans les hôpitaux « On n'a plus de masques, j'ai des collègues vaccinés mais qui ont le covid et qui peuvent travailler, pourquoi pas nous ? ». Emmanuel Macron a ensuite terminé la discussion en rappelant que « Beaucoup de vos collègues se sont fait vacciner. Plus de 95% »
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