Mise à jour mercredi 31 mars à 9 h : Oui, le Président de la République va réaliser une allocution ce mercredi soir à 20 h (source). Cela sera à retrouver sur toutes les chaînes d'information en continu, TF1, France 2...
Plusieurs pistes sont à l'étude : fermeture des écoles, confinement strict. Ce qui est sûr, c'est que les restrictions vont être plus importantes. Retrouvez sur Breakflip Awé les dernière informations liées à l'annonce du Président.
Le Président de la République s'est rendu le 29 mars à Créteil. Il a visité les locaux de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie du Val de Marne. C'est la CPAM qui est chargée du dispositif « Tester Alerter Protéger » cher au ministre de la Santé.
Ce sont aussi les CPAM départementales qui sont chargées d'organiser la vaccination des personnes les plus âgées, celles qui ont plus de 75 ans et qui n'ont pas encore pu se faire vacciner.
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Les Caisses Primaire d'Assurance Maladie seront désormais chargées d'un nouveau dispositif : organiser la vaccination des plus âgés, et particulièrement les plus de 75 ans qui ne sont pas encore vaccinés. Si la vaccination essaie de les vacciner en priorité, beaucoup d'entre eux ne peuvent pas s'y déplacer. C'est pourquoi l'État veut aller plus loin, et aller vers ces personnes âgées non-vaccinées pour leur permettre de recevoir les injections en les contactant, et en leur proposant des solutions.
Accélérer la vaccination, c’est aller vers les plus de 75 ans qui n’ont pas de rendez-vous. Parce qu’ils sont isolés ou se déplacent avec difficulté, les opérateurs de la Caisse d’assurance maladie les appellent pour leur proposer le vaccin. Merci à eux pour leur mobilisation ! pic.twitter.com/tg9dIOfibu
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) March 29, 2021
C'est aussi cet organisme qui est chargé du traçage des malades de la covid-19, le dispositif « Tracer, Alerter, Protéger » ayant pour but de retracer au maximum les cas de covid-19 pour limiter la propagation de l'épidémie.
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Si les personnes âgées peuvent se faire vacciner, le problème principal reste la production de vaccins. Avec une demande mondiale très forte, les commandes passées par l'Union Européenne (dont pour la France) peinent à être livrées, ce qui ralentit d'autant l'avancée de la campagne de vaccination.